Julie Desfachelles - Il n'est pas sûr de se fier à une personne de qui l'humeur est changeante. - [T]

Bonjour. Merci d'avoir accepté de répondre à ces quelques questions pour notre magazine Cosmopolitan. Tout d'abord, présentez-vous à nos lectrices, cela permettra de mieux vous connaître!

crédit

Nom :Desfachelles Prénom : Julie Date de naissance : 26 décembre 1985 Lieu de naissance : Langsley Situation/Emploi: internée à George Pearson Avatar : Mélanie Laurent Pseudo : Aucun Commentaires : //

Très bien. Vous savez, j'ai tout de suite apprécié votre profil quand j'ai reçu votre candidature par mail. Vous avez ce petit quelque chose, cette fraîcheur. Vous allez plaire, soyez en sûr! Alors dites-moi, comment vivez-vous votre célibat?


J'ai fait exprêt d'être célibataire? Vous rigolez! Voilà six ans que je suis enfermée dans cet hopital d'aliénnés. Je me vois mal demandé au premier venu,un fou donc de sortir avec moi! JE NE SUIS PAS FOLLE! JE N'AI PAS VOULU ME TUER! JE N'AI RIEN A FAIRE ICI! Les seuls sains d'esprits qui sont présents, sont les médecins et aides soignants, je ne vais pas inviter un médecin à dîner avec moi alors qu je ne peux même pas sortir.
Donc pour répondre à votre question se n'est pas par choix, mais en même temps, une fois sortit d'ici je en prendrais pas le premier venu! Il faudra que se soit LE bon!


D'accord. Mais j'imagine que vous n'avez pas été célibataire toute votre vie! Pourriez-vous nous parler de vos dernières relations amoureuses, ou de la dernière? Je sais, cela peut paraître assez indiscret mais n'oubliez pas que nous consacrons un article sur les célibataires! Soyez donc tout à fait sincère!



Des dernières ou de la dernière? C'est simple il n'y en a eu que deux. Une lorsque j'avais dix/douze ans. Un garçon très gentil, mais que je n'ai jamais vraiment aimé. Nous étions simplement amis, je l'ai coprit raidement.
Et la deuxième, aussi la dernière. Lors de mes dix sept ans. Il était au lycée avec moi. Lorsqu'il n'était pas "ailleurs", on faisait tout ensemble, même des fois on s'amusait bien. Il savait me faire rire. On a passé du bon temps tout les deux. Je sluifaisiat confiance. c'était mon premier véritable amour!
Mes amies m'avait prévenue, elle m'avait dit qu'il se piquait, qu'il finirait par me faire à son image. Je l'ai quité juste à temps. Dans mon état je serais devenu comme lui. J'ai apprit l'année dernière dans les journaux qu'on l'avait retrouvé mort dans une ruelle: overdose. Je suis heureuse de l'avoir quitté. Au fond je ne l'aimait pas vraiment. C'était juste un gars pommé, tout comme moi! Je le comprenait, il disait me connaître, pour me faire vivre autre chose, c'est tout se que je voulais!



Oh, comme c'est dommage que ça n'ait pas fonctionné. Mais vous savez, nous sommes de petites curieuses. Et si vous nous parliez un peu plus de vous?




Tout a été très vite. J'ai été enfermé dans cet hospital il y a six ans. Je me suis refermée sur moi-même. J'ai oublié de parler, de manger, de vivre.

Trois lignes pour représenter ma vie. Je pourrais dire que vous savez tout, mais se serait trop simple, alors voilà la suite, avec un peu plus d'explication!

Je suis arrivée dans cet hopital psychiatrique il y a six ans. Je me souviens bien de cette nuit là. Je venais de quitter mon dernier petite copain: Charly, un junkie. Je n'en pouvais plus; j'avais eu mon baccalauréat, mais s'en conviction, la vie ne me plaisait pas comme ça. Je devais essayer autre chose, voir du pays( enfin façon de parler!) Ce soir j'était dans l'appart que je loué en colocation avec ma meilleure amie Cynthia. J'étais seule. Cynthia était avec sn copain,je n'avais rien à faire. J'en avais plus qu'assez de vivre, je voulais connaitre autre chose, mais je n'y arrivais plus! Je venais de prendre ma déision en prenant un verre de vodka; j'allais enfin agir, après mettre plainte tant de fois que ma vie était de la merde(s'cusez!).
J'étais dans la salle de bain, je me regardais dans le miroir, avec mes cheveux en bataille, j'avais la boîte d'aspirine dans la main, j'ai pleuré longtemps en pensnat à mes parents, mais je me suis ditque vu la vie de merde que j'avais, je ne leur manqueraient pas, qu'ils me comprendraient! J'ai vidé la boite dans ma main,et j'ai avalé les comprimé plusieur sà la fois, puis j'ai prit de l'eau. La boite est tombé sur le sol. Dans un instant j'allais me sentir mieux... libre! Je me suis écroulée sur par terre, puis c'est le trou noir. Je me suis réveillé deux jours plus tard, dans un hopital tout à fait normal. Et finalement lorsqu'ils ont comprit qu'ils allaient avoir du mal avec moi, ils m'ont envoyé au centre George Pearson.

Avant cette soirée là, j'ai passé ma vie, bien gentimment avec ma p'tite soeur. On était les cinq doigts de la main elle et moi, mais rapidememnt j'ai arrêté de la suivre,je ne comprenait plus son langage, c'était une inconnue pour moi! j'était une bonne élève, je devais pouvoir me trouver un métier facilement, j'aurais un mari,des enfants, je serais une grande femme d'affaires... NONNN je refusais toute cette pression, j'ai tenue pendant de smois, mais ça à fionit par débordés, c'étiat trop dur. Je ne voulais pas de cette vie là!
Mes parents ont dit officiellemment que j'étais à l'hôpital après un accident avec Charly,et que je n'arrivais pas à m'en remettre, mais au bout de six ans ça commence à faire vous trouvez pas!J'aime mes parents,oui! Mais des fois, ils sont trop snob, trop riches. Ils me semblent si loin maintenant! Ils ne viennent plus me voir! Comme si ils avient honte d'avoir une fille comme moi! C'est ainsi que je le prends même si ils me disent le contraire avec le docteur Caraeddry. Quesqu'il en sait lui. Il est pas dans leur tête!




Et bien, en voilà quelqu'un qui a vécu. Mais il n'y a pas que le passé qui compte, l'important, c'est l'avenir. Allez-y, confiez à nos lectrices favorites comment vous vous voyez dans 10 ans.



Dans dix ans, je me vois loin de cet hôpital pour commencer.
Ensuite je vais me laisser aller à quelques confidences, se que je ne fais jamais! Vous voyez l'aide soignant qui n'arrête pas de passer dans le couloir depuis que nous avons commencer à parler. Je me vois bien finir ma vie avec lui. Il est si gentil, si charmant. Voilà six ans que je nie se que j'ai fait, six ans, qu'on me pousse à parler. Lui il ne me pousse pas vraiment, mais je lui parle. Dès la première fois que je l'ai vu, j'ai su que c'était LUI.
Mais ce n'est qu'un doux rêve qui m'anime. Jamais il ne poserat les yeux sur moi, je ne suis qu'une patiente de plus dans cet hopital pour lui, rien d'autre que sa patiente attitrée.



Ca y est, j'en ai terminé avec vous, vous pouvez souffler! Si vous voulez bien remplir ce petit questionnaire pour terminer, et je vous laisse tranquille!



1) Dans un bus, un joli garçon/une jolie fille vous fixe:


• Vous changez de place.
  
• Vous foncez pour draguer.
  
• Vous souriez timidement.
  
• Vous soutenez son regard.


2) Vous croyez que dans le monde, tout est:


• Amour (Comme Jésus)
  
• Relatif (comme Einstein)
  
• Sexe (comme Freud)
  
• Action (Comme Bond... James Bond)


3) Finir votre vie seul/e:


• Ca vous angoisse, vous y pensez d'ailleurs tous les jours.
  
• Ca ne vous fait rien, vous avez le temps de voir venir.
  
• Ca vous arrange, vous êtes très bien sans personne dans vos pattes.
  
• Ca vous paraît impossible, un jour l'amour viendra.


4) Vous rêvez souvent:


• De la personne que vous aimez.
  
• D'être entouré de dizaines de mecs/filles sublimes et nu/e/s
  
• Qu'un prince charmant vient vous enlever / Qu'une princesse attend votre aide quelque part.
  
• Que vous volez.