J. Knighton | You send me to a broken state.

Bonjour. Merci d'avoir accepté de répondre à ces quelques questions pour notre magazine Cosmopolitan. Tout d'abord, présentez-vous à nos lectrices, cela permettra de mieux vous connaître!

Nom : Knighton. Prénom : Jeemie. Date de naissance : 05 mars 1984. Lieu de naissance : Vancouver, Canada. Situation/Emploi : Reporter Photographe. Avatar : Andrew Garfield. Pseudo : Sissi. Commentaires : Très beau forum la simple vue du pseudo "Nepy" m'a convaincu de m'inscrire je plaisante, il n'y a pas que ça.

Très bien. Vous savez, j'ai tout de suite apprécié votre profil quand j'ai reçu votre candidature par mail. Vous avez ce petit quelque chose, cette fraîcheur. Vous allez plaire, soyez en sûr! Alors dites-moi, comment vivez-vous votre célibat?

C’est une question à laquelle je ne saurais – ou n’ose pas – donner une réponse claire et correcte. Pour être honnête avec vous, j’ignore absolument quoi vous répondre. Il y a des bons comme des mauvais côtés au célibat. Dans mon cas, par exemple, cela m’a permis de grandir un peu dans ma tête, de mûrir et surtout de voir le monde comme il est réellement et non comme je souhaiterais qu’il soit. Vous savez dans ma famille j’ai toujours été le seul des Knighton à vraiment m’intéresser au sens même du mot amour. Petit déjà je pouvais passer des heures entières à regarder les filles jouer de façon gracieuse à la corde à sauter, à brosser et tresser leurs chevelures d’or, à rire de ces rires cristallins qui parviennent à illuminer l’ensemble de votre journée. Alors que mon grand frère ne cessait d’embêter le sexe opposé notamment en leur jetant l’ancre de sa plume au visage, en déchirant leurs dessins, en leur faisant des grimaces, en leur mettant des insectes ou autres spécimens dans le cartable ; moi, je me contentais d’observer le spectacle d’un œil extérieur à la scène et il arrivait même parfois que certaines viennent chercher du réconfort dans mes bras. Il y avait cette fille dans la classe de Braden, Maria il me semble, d’une beauté sans pareille elle était malheureusement plus âgée que moi, le souvenir de ses belles boucles blondes joliment dessinées me fait encore sourire aujourd’hui. Je pense que le déclic est parti d’elle. Fidèle à lui-même, l’aîné Knighton avait une nouvelle fois tenté de glisser l’une des rainettes de sa classe dans la crinière de sa camarade, ce qu’elle n’apprécia pas du tout. Des pleurs s’ensuivirent jusque dans la cour de récréation. Ce sont ces larmes qui déclenchèrent en moi une sensation étrange, ce jour-là j’ai réalisé à quel point il était ignoble de faire du mal à la plus magnifique et douce des créatures – j’ai nommé la femme –, l’élément déclencheur n’en est pas vraiment un me direz-vous et pourtant… oui pourtant, il ne fallut qu’un seul échange de regard tandis qu’elle courait en direction des toilettes pour comprendre que ma place était auprès d’une fille qui, grâce à moi, ne verserait plus jamais aucune larme. Cette petite parenthèse répond en partie et de façon implicite à votre demande. Imaginez un instant l’homme que je suis devenu aujourd’hui, possédant les mêmes valeurs que dans le passé mais de manière intensifiée, et réfléchissez-y. Pensez-vous oui ou non que le statut de célibataire me convient ? Je vous laisse vous pencher là-dessus. Sachez seulement qu’une part de l’enfant que j'étais autrefois et qui sommeille en moi a partiellement disparu ; plus de force que de gré. A qui la faute ? A ce même être vivant que je pensais un jour devoir protéger coûte que coûte. Me voilà à présent cruellement partagé entre ma raison et mon instinct cherchant à lutter contre le même fléau. Quoi que je dise, pense, ou fasse, les femmes seront toujours mon principal obstacle.


D'accord. Mais j'imagine que vous n'avez pas été célibataire toute votre vie! Pourriez-vous nous parler de vos dernières relations amoureuses, ou de la dernière? Je sais, cela peut paraître assez indiscret mais n'oubliez pas que nous consacrons un article sur les célibataires! Soyez donc tout à fait sincère!

Vous avez raison sur un point, votre question est on ne peut plus indiscrète. Cependant je vais tout de même prendre le temps d’y répondre, avec sincérité comme vous venez de le souligner. Je ne suis pas du genre très expansif, je ne parle que très rarement de mes relations passées voire même présentes. Révéler aux autres ce que je ressens au plus profond de moi représente quelque chose de tabou et ce depuis des années. Ma dernière relation en date n’a fait qu’accroître ce côté de ma personnalité qui refuse catégoriquement de s’ouvrir aux autres. C’est la raison pour laquelle j’accepte de me livrer en partie à vous et aux éventuelles lectrices de votre magazine, parler un peu de moi-même – à des étrangers qui plus est – ne me fera sans doute aucun mal. J’espère d’ailleurs que cette expérience aura un effet libérateur sur moi.
Pour reprendre vos mots, je n’ai en effet pas été célibataire toute ma vie, du moins pratiquement. Il existe plusieurs catégories d’hommes : ceux qui se contentent de vouer un véritable culte aux formes généreuses sans jamais relever les yeux plus haut que la poitrine et ce qui, comme moi, s’attardent bêtement – oui, j’ai bien dit bêtement – sur les détails du caractère d’une femme afin d’y trouver une moitié compatible avec la sienne. Enfin, je pensais être ce genre de type. C’était encore le cas il y a de cela quelques mois. A présent tout est confus dans mon esprit. Vous voulez savoir pourquoi les choses ont subitement changées pour moi ? Je vais de ce pas vous le dire. La question initiale me demandait de retracer mes dernières histoires amoureuses, toutefois je me pencherai seulement sur l’une d’entre elles ; la seule qui ait été réellement sérieuse et durable. Entre Constance et moi tout a toujours été d’une simplicité plaisante, les choses venaient d’elles-mêmes sans que l’on soit obligé de s’enfermer dans une spirale de tourments infernale. Malgré son jeune âge à l’époque – bien que nous ayons seulement deux ans d’écart – mon instinct m’a aussitôt conseillé de lui accorder ma confiance, amicale dans un premier temps. Après un certain temps à se chercher mutuellement c’est tout naturellement que nous avons commencé une relation. A dire vrai, la flèche d’Apollon ne mit guère de temps à me toucher ; symboliquement mon amour pour elle fût presque immédiat. Mais là n’est pas le débat. Ce qui semble vous importer en priorité, c’est de connaître la raison de notre éloignement, de notre rupture et la nature de mes sentiments pour elle à présent. Honnêtement, je pourrais résumer le tout en un seul mot : haine. La haine parce que je la juge TOTALEMENT responsable de notre séparation, par ailleurs le souhait de ne plus se voir vient d’elle. Je n’ai pour ainsi dire pas eu d’autre choix que celui d’accepter sans broncher. Son discours n’était pas très clair, ses yeux – certes tristes au moment voulu – étaient toujours empreints de cette flamme qui les avait jadis alimentés lorsque je posais mon regard sur elle, son comportement était en parfaite contradiction avec ses paroles fatalistes. A priori je ne correspondais pas à ses attentes, elle ne correspondait pas non plus aux miennes. En l’espace de cinq minutes nous étions devenus des étrangers l’un pour l’autre, des jeunes gens qui de toute évidence avaient perdu leur temps ensemble et qui s’étaient complètement fourvoyés sur leur perception – non commune – de l’amour. Je ne peux vous dire avec exactitude ce que je ressens présentement car un vide indescriptible me traverse péniblement depuis un temps certain. Tiraillé entre l’indifférence la plus totale et le désir inavouable de verser toutes les larmes de mon corps, je ne sais plus très bien où j’en suis maintenant. Je me rends doucement compte qu’elle m’a en quelque sorte guéri de ma stupide obsession de l’amour qui m’a hélas fait perdre de nombreuses et belles années de ma vie. Aujourd’hui je profite comme je peux de ma jeunesse, fréquente des jeunes femmes sans penser au lendemain et vit continuellement au présent.



Oh, comme c'est dommage que ça n'ait pas fonctionné. Mais vous savez, nous sommes de petites curieuses. Et si vous nous parliez un peu plus de vous?



22h16, appartement d’Alanis. La fête battait son plein. De nombreux groupes s’étaient à présent formés par endroits mais celui de Jeemie semblait avoir investi la totalité des fauteuils du salon depuis le début de la soirée. Les discussions allaient bon train, seul le jeune homme donnait l’impression d’être totalement absent étant donné que son regard – le plus souvent fixe – s’attardait longuement sur des personnes qu’il ne connaissait absolument pas ou encore sur les divers nouveaux arrivants qu’il ne connaissait manifestement pas non plus. Cependant lorsque la maîtresse des lieux – qui fêtait aussi son anniversaire – apparut dans la pièce au bras d’une jeune femme aux cheveux chocolatés, la vie fût subitement redonnée à Knighton qui se redressa maladroitement dans son siège.

« Qui l’a invité ? » S’interrogea une voix masculine à côté de lui qui s’évapora bien vite sous le son entraînant des Ting Tings.
« Euh, je crois que c’est moi. » Rétorqua Kimberly tout en se frottant le menton, visiblement gênée. « Son adresse devait figurer dans le mail de masse. »
« C’est pas grave. » Bredouilla Jeemie.
« Je suis désolée, Jeemie. » Poursuivit Kim sans même prendre la peine de l’écouter, à dire vrai le volume élevée de la musique ne l’y aidait pas.
« Je tiens quand même à vous rappeler qu’aux dernières nouvelles Alanis est aussi l’amie de Constance. » Ajouta Danny d’un ton solennel. Depuis qu’ils s’étaient séparés, sa rupture avec Constance alimentait pour ainsi dire toutes les conversations autour de lui, ses amis avaient par ailleurs pris la mauvaise habitude d’en parler à tort et à travers notamment lorsqu’il se trouvait près d’eux. Comme invisible, ils ne faisaient jamais attention à sa présence ni même aux mots blessants voire choquants qu’ils pouvaient employer devant lui. En plus de cela lorsque le débat était lancé, il n’existait tout bonnement plus, il avait beau ouvrir la bouche pour tenter de s’exprimer ou remuer les bras pour se faire remarquer, rien n’y faisait. On ne faisait plus attention à lui et on se permettait de le juger lui ainsi que son histoire. A la longue il avait fini par s’y habituer d’une manière ou d’une autre mais ce soir il réalisait à quel point la coupe était pleine.
« Mon verre est vide, je vais me chercher à boire. » Dit-il distraitement après avoir volontairement englouti l’intégralité de son verre dans le but d’avoir une excuse valable pour s’éclipser.
« Moi je dis qu’elle est culottée de se ramener ici tout en sachant qu’il serait là. »
« Ils ne sont plus ensemble et alors ? Tu ne croyais tout de même pas qu’on allait organiser deux anniversaires simplement pour ne pas qu’ils se croisent ? »
« C’est quand même elle qui l’a largué, elle a fait son choix. Par conséquent, à elle de se sacrifier. »
« Qu’est-ce que tu peux être conne quand tu t’y mets, toi. »
« Euh les gars. »
« Nan mais c’est vrai quoi. »
« Elle vient par ici. »

« On se voit plus tard. » Murmura Jeemie, plus pour lui-même, se sachant de toute manière inécouté.
« Je t’accompagne. » Lui répondit cependant la voix fluette de Tamara qui lui emboîta aussitôt le pas lorsqu’il quitta le petit groupe pour le buffet situé à l’autre bout de la salle. Une seconde de plus et la catastrophe arrivait. Une seconde de plus et il aurait dû vivre malgré lui une confrontation avec son bourreau.

Durant la demi-heure suivante il dut faire extrêmement attention aux mouvements qu’il faisait, en aucun cas il ne devait se retourner en direction de ses amis près desquels Constance s’était assise ; à sa place d’ailleurs. Histoire de se donner du courage et de la motivation, il avala deux ou trois verres de plus alors que la jeune Tamara en était toujours à son premier. L’appartement contenait principalement des adultes – question de mentalité – il devait donc adopter un comportement mature et faire comme si cette rencontre forcée ne l’atteignait pas le moins du monde. Bien que sentant une dizaine de paires d’yeux braqués dans leur direction, Jeemie apprit doucement à se détendre et parvint bientôt à faire abstraction de tout ce qui pouvait l’entourer, aussi bien le mobilier que les invités. Tamara qui, depuis de longues minutes semblait perdre patience, obtint enfin la danse qu’elle réclamait implicitement depuis qu’ils s’étaient éloignés des autres. « Tu ne devrais pas faire attention à elle, tu sais… » Lui glissa-t-elle au creux de l’oreille tandis qu’elle plaçait ses deux bras autour de son cou quand la mélodie d’un slow retentit.
« Pardon ? » Demanda-t-il tout en relevant la tête vers elle.
« Elle n’en vaut pas la peine. » Elle baissa le regard et vint immédiatement poser son visage sur son épaule. « Enfin, je veux dire qu’elle ne sait pas ce qu’elle rate… » Après avoir émis un léger soupir, Jeemie posa doucement sa tête contre la sienne tandis que l’une de ses mains caressait délicatement ses longs cheveux blonds.
« Merci. » Souffla-t-il fébrilement pour seule réponse. Il avait beau faire preuve d’une volonté de fer, ses efforts pour oublier Constance étaient la plupart du temps vains. Soit on le contraignait à parler d’elle soit elle apparaissait miraculeusement dans son champ de vision. Il ne pouvait donc décemment pas être tranquille même un instant ? Depuis leur séparation le jeune homme avait comme qui dirait pris une certaine forme de distance avec ses amis, avant tout par crainte de croiser son chemin mais aussi dans le but de parvenir à l’oublier en mettant de côté ce qui pouvait lui faire penser à elle. Il fallait combattre le mal par le mal, il entendait bien mettre en pratique cette expression dès ce soir.

Alors que les dernières notes du slow laissaient maintenant place à une musique plus endiablée et mouvementée, Jeemie prit l’initiative de ne pas suivre l’ambiance générale qui repartait maintenant de plus belle et demeura immobile, Tamara toujours solidement blottie dans ses bras. Avec douceur il plaça ses doigts sous le menton de cette dernière afin de relever son visage que ses mains vinrent rapidement encadrer. Bientôt ses lèvres vinrent à la rencontre des siennes dans un baiser fougueux qui les obligea tous les deux à faire quelques pas hors de la piste de danse jusqu’à ce que le dos de la blondinette vienne heurter le mur voisin. A cet instant précis, plus rien n’avait d’importance. Excepté peut-être une chose : démontrer à Constance ô combien il était aisé de lui rendre la monnaie de sa pièce, ô combien il lui en voulait de l’avoir fait souffrir gratuitement et ô combien il était prêt à obtenir vengeance dès à présent. Elle s’était permis de le blesser d’une manière presque facile – trop facile d’ailleurs – ainsi il était presque obligé de faire de même en utilisant la même attitude dégagée qu’elle avait utilisée pour s’adresser à lui. Une sous-merde, voilà ce qu’il avait été durant la brève et dernière entrevue qu’ils avaient eue. Si elle pensait pouvoir faire aussi facilement une croix sur lui sans passer au préalable par la case tourment, elle se mettait le doigt dans l’œil. Il n’était écrit nulle part que seul lui devait endurer cette peine immense et souffrir ainsi le martyr inutilement. « Viens. » Il referma sa main dans la sienne. « Partons d’ici. » Il ignorait quel serait le dénouement de cette soirée, à dire vrai il s’en fichait pas mal, du moment qu’on lui permettait de s’échapper loin il était preneur. Il entraîna son amie à travers la foule dense de danseurs avant de jeter volontairement un dernier coup d’œil en direction de son ex petite amie qui soutint un bref instant son regard puis détourna la tête. La minute suivante ils se trouvaient en bas de l’immeuble, ils grimpèrent sur le scooter de Tamara et disparurent en direction de l’appartement de la jeune femme où il se produirait ce qu’il devait se dérouler.



Et bien, en voilà quelqu'un qui a vécu. Mais il n'y a pas que le passé qui compte, l'important, c'est l'avenir. Allez-y, confiez à nos lectrices favorites comment vous vous voyez dans 10 ans.

Outch. Me parler maintenant de futur alors que mon présent est bancal à souhait vous semble peut-être anodin et sans conséquence, pour moi cela me ramène inévitablement à mes démons du passé. Je ne vais cependant pas faire ma forte tête et vous répondre du mieux que je le peux, c’est-à-dire de manière pas très objective étant donné mon état d’esprit du moment. Auparavant cela aurait été facile de répondre à cette question car depuis toujours je traverse les âges avec la même idée ancrée en tête. Celle d’avoir un travail bien rémunéré, une grande maison aux volets rouges avec un espace vert dans lequel mes trois futurs enfants pourraient chahuter, et bien entendu une femme aimante avec qui finir mes vieux jours. Aujourd’hui les choses semblent légèrement, voir totalement, différentes. Je n’aspire plus à une vie tranquille sur le plan émotionnel, il me tarde avant tout de privilégier ma carrière professionnelle. Croiser et recroiser les mêmes visages familiers de Vancouver me donne de temps à autre la nausée si bien que parfois j’envisage de déménager loin, très loin. Par conséquent je me vois inévitablement à des kilomètres du Canada d’ici dix ans, et pourquoi pas un reporter-photographe mondialement connu ? Voyager à travers le globe pour capturer des instants uniques est maintenant devenu mon principal objectif, hormis celui d’éradiquer définitivement de la surface de la terre – ou de ma tête pour commencer – le visage dévastateur de cette cruelle tortionnaire répondant au prénom de Constance.

Ca y est, j'en ai terminé avec vous, vous pouvez souffler! Si vous voulez bien remplir ce petit questionnaire pour terminer, et je vous laisse tranquille!



1) Dans un bus, une jolie fille vous fixe :


• Vous changez de place.
  
• Vous foncez pour draguer.
  
• Vous souriez timidement. ✖
  
• Vous soutenez son regard.


2) Vous croyez que dans le monde, tout est :


• Amour (Comme Jésus)
  
• Relatif (comme Einstein) ✖
  
• Sexe (comme Freud)
  
• Action (Comme Bond... James Bond)


3) Finir votre vie seul :


• Ca vous angoisse, vous y pensez d'ailleurs tous les jours.
  
• Ca ne vous fait rien, vous avez le temps de voir venir.
  
• Ca vous arrange, vous êtes très bien sans personne dans vos pattes. ✖
  
• Ca vous paraît impossible, un jour l'amour viendra.


4) Vous rêvez souvent :


• D'être entouré de dizaines de filles sublimes et nues
  
• De la personne que vous aimez. ✖
  
• Qu'une princesse attend votre aide quelque part.
  
• Que vous volez.

Jeemie Knighton a écrit:

Voyager à travers le globe pour capturer des instants uniques est maintenant devenu mon principal objectif, hormis celui d’éradiquer définitivement de la surface de la terre – ou de ma tête pour commencer – le visage dévastateur de cette cruelle tortionnaire répondant au prénom de Constance.